La question de l’estime de soi, de la confiance semble être centrale, à savoir, la retrouver.

L’art (de manière générale) doit participer à l’amélioration, la reconstruction de cette estime de soi; une création qui soit spontanée, sans pression.

Par quel biais, quel médium ?

Le pouvoir de la voix : le chant.

Le théâtre qui combine la voix, le corps et des mondes imaginaires.

Mais au final, c’est surtout la manière d’emmener le projet plutôt que la discipline en tant que tel qui va importer : le rythme, la progression, l’adaptabilité...sont tout autant d’éléments à prendre en compte.

UN FIL DIRECTEUR

Trouver un lien, un fil, si on emploie plusieurs médiums, ne pas être dans la surenchère, mais plutôt dans l’utilisation juste et adapté de chaque élément en fonction des pathologies de chacun.

Savoir adapter les médiums à chacun.

Le tout dans un contexte de bienveillance, sécurisant pour chacun (un nombre de personnes réduit est à privilégier, le collectif doit soutenir les individualités de tout un chacun et non pas les étouffer).

Le groupe, le collectif doit permettre de rentrer en connexion avec soi et les autres.

EN TEMPS QU’INTERVENANT eXTERIEUR, QUELQUES POINTS MAJEURS À PRENDRE EN COMPTE :

Il faut rester à l’écoute, curieux, s’adapter et faire preuve de souplesse : le projet initial ne sera pas forcément le projet final et c’est tout l’intérêt : les personnes ainsi que le personnel soignant vont le faire évoluer, en fonction de leurs propres apports !

Laisser une libre part au geste artistique non maîtrisé pour permettre de s’exprime.

Et réaliser que l’on en est tout à fait capable !

Le processus est très important, gérer les différentes étapes, l’accompagnement général et individuel.

La collaboration avec les professionnels de santé est essentielle, ainsi que les établissements concernés.

Collaboration avec les principaux concernés également, les personnes pour lesquelles vont avoir lieu ses ateliers !